Aujourd’hui René Moniot Beaumont reçoit pour Meravenir Pierre Sarazin pour la deuxième semaine.
La criée, un domaine que nous connaissons à peine, ces hommes et ces femmes qui travaillent lorsque la plus grande partie de nos citoyens dorment. Les poissons sont, déchargés, triés, calibrés, pesés, mis en bacs et acheminés dans la zone pour que la vente commence. Une autre partie va se jouer d’où sortira le salaire des marins et de la criée. Ces hommes et ces femmes de l’ombre œuvrent pour que vous ayez sur les étales des poissonniers de quoi satisfaire vos besoins. Pierre Sarazin nous ouvre les portes de la criée pour en savoir un peu plus..
https://rcf.fr/vie-quotidienne/solidarite/pierre-sarazin-23
Au Sénégal nous avons connu des moments faste avec la criée où l’on pouvait trouver toutes les espèces de poissons frais de la pêche artisanale pour satisfaire le panier de la ménagère et les exportateurs de poissons vers l’Europe finit cette période laisse la place à des hommes et femmes qui tournent les pouces toutes nos mers sont ruiné et détruite par des monstres de bateaux qui raclent tous nos fonds marin avec des rejets intempestives de poissons non désire voilà le décor triste de nos criées
Nous menons un combat pour la suppression de tous les navires qui pratiquent le chalutage ils sont l’origine de tout le mal que la mer et les consommateurs sont entrain de subir notre combat c’est la reconversion de c’est monstres de navires au Sénégal qui ne se rappelle plus de leurs actes de naissance voilà la raison de la disparition de nos criées au Sénégal ou l’on pouvait trouver toutes les espèces c’était beau
Bonsoir Ba Alassane,
peux-tu me dire comment est structurée, aujourd’hui, la filière de la vente à la distribution de la pêche à Dakar?
Il y a un film documentaire sur les mareyeurs qui est sorti, qu’en penses-tu ?
je te joins le lien de l’article: http://www.rfi.fr/culture/20180126-fipa-mareyeurs-senegal-moins-poissons-plus-emigration-matteo-raffaelli
http://www.oceanfilm.it/