La mer toujours recommencée.
La récente et calamiteuse Xynthia est restée dans les mémoires.
Par le passé, lointain et proche – jadis et naguère -, de tels cataclysmes, dont les causes sont naturelles, bien souvent, sont survenus sur nos côtes. Parmi ces envahissements exceptionnels (pour utiliser la terminologie des « spécialistes »), le plus terrible pour les deux derniers siècles, tant par sa violence que le secteur géographique touché, semble avoir été celui de la nuit du 8 au 9 janvier 1924.Les populations littorales du golfe de Gascogne ont oublié, ou plutôt, ont voulu oublier cette catastrophe. Mais maintenant, a-t-on tiré les leçons de ces outrances de l’Océan et les conséquences tragiques en résultant ? Nenni !
En bien des endroits, « chez nous », et ailleurs, le cordon littoral a été fragilisé… et on continue de le faire, alors que l’attirance de la mer (un désir de rivage) se fait grandissante par les populations exogènes qui ignorent, ou veulent ignorer, les désagréments de la topographie bordière (bel euphémisme). Nous voici comme des grenouilles autour d’une mare… (Roland Mornet).
Sommes grandement responsable par nos faits gestes au Sénégal je ne souhaite pas que ça arrive toutes ces dûnes de sables qui servent de protection on disparu par méconnaissance ce n’est pas un souhait des résultats que cela pourraient causer dans une telle situation la mer est rempli a plus de cent mètre a certain endroit des côtés du Sénégal un geste de l’homme fait par ignorance
bonsoir, peux tu m’en dire un peu plus sur la dégradation du littoral au Sénégal. As tu un historique photo ou carte qui remonte à quelques dizaines d’année? petit audit..
Y a t-il un commerce d’extraction de sable marin au Sénégal?
Nous commençons à comprendre les mouvements du sables sur les côtes. L’hiver, lors des tempêtes, il faut une bande littorale libre pour que les vagues puissent venir mourir, elles repoussent le sables vers la terre. en été le sable s’aplatit mais reste en parti sur le littoral. le fait de construire au bord de l’eau (bétonnage) empêche ces mouvements indispensable à la vie du littoral. le sables est vivant, il faut le laisser s’épanouir et lui laisser de l’espace.nous devons repenser notre urbanisme avec le paramètre de la montée des eaux. Il est désolant de voir les sinistres que nous vivons. Les personnes qui délivrent les permis sont elles conscientes des risques qu’elles font courir aux femmes, aux hommes et à l’économie, si oui, alors!!